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Audrey Billerot

Titre du mémoire soutenu : Le Géotrain pyrénéen, un objet géotouristique complexe.

Année de soutenance : 2019.

Activité professionnelle actuelle : Professeur de SVT en lycée.

Votre activité professionnelle a-t-elle évolué depuis le CIEH ? : Ma vision du monde a évolué dans le sens d’une meilleure compréhension de la complexité. J’essaie autant que possible d’intégrer cette notion dans mes enseignements, notamment en construisant des projets pluridisciplinaires.

Pourquoi vous êtes-vous inscrit dans cette formation ? : J’ai reçu l’information sur le CIEH alors que ma pratique de l’enseignement me faisait me questionner sur l’approche psycho-sociologique de mon métier. La dimension transdisciplinaire et la question de la complexité abordée dans le CIEH m’ont paru être exactement ce qu’il me fallait à ce moment précis de ma carrière. Le CIEH s’est révélé aller bien au-delà de mes attentes et m’a considérablement enrichie.

Qu’y recherchiez-vous ? : Je recherchais des informations sur comment prendre en compte les élèves dans leur globalité, comment fonctionne un groupe humain... Finalement une composante sciences humaines qui me manquait en tant que scientifique.

Comment définiriez-vous le contenu ? : Divers, mais toujours très intéressant. C’est réjouissant de « faire marcher son cerveau » avec les intervenants du CIEH.

Que vous a apporté le CIEH (au niveau personnel, professionnel et/ou extraprofessionnel) ? : Le CIEH m’a permis d’apprendre beaucoup de choses que j’ignorais. Etant une personne qui a toujours aimé apprendre, c’était parfait. De plus, l’approche par la complexité et la transdisciplinarité m’a beaucoup apporté pour mieux comprendre le monde et me positionner dans ma relation aux autres. Le CIEH m’a aussi rendue plus curieuse que je ne l’étais. Une véritable ouverture de l’esprit.

Quels conseils pourriez-vous donner aux personnes souhaitant s’inscrire ? : De ne pas hésiter ! Et de ne pas se décourager.

Comment valorisez-vous actuellement l’expérience que vous avez vécue durant la formation ? : Pour le moment, la valorisation est personnelle, dans mes pratiques d’enseignement. Cependant, peut être que le CIEH me permettra de concrétiser des projets professionnels alternatifs… A voir !

Quels sont les concepts et outils développés au sein du CIEH qui vous accompagnent à présent dans votre vie professionnelle et personnelle ? : La complexité évidemment. Dans le monde actuel, c’est une notion très utile. Aussi la prise de conscience de la nécessité de remettre l’humain dans la nature, de la nature dans l’humain.

Comment orientez-vous vos projets depuis votre passage au CIEH ? : J’essaie de travailler en tenant compte de la complexité, et d’échanger un maximum avec des gens ayant un regard différent du mien.

Le CIEH vous aide-t-il au quotidien ? : Je ne sais pas si ça aide de se rendre compte de la complexité du monde, mais en tous cas, ça permet d’ouvrir les yeux.

Quand vous repensez au CIEH, quel est le premier mot qui vous vient à l’esprit ? : Parenthèse (dans le quotidien, relever le nez du guidon, prendre de la distance...)

Autres remarques que vous souhaiteriez partager… : Merci à tous les intervenants et à Lionel et Christel particulièrement pour tout ce qu’ils m’ont apporté.

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